• Actualité de nos engagements

Une maison pour tout le monde , justice sociale

Les SASV et UNANIMA international


La justice sociale est sans cesse au coeur de nos préoccupations.

En ce début du 21e siècle, à l'ère des réseaux sociaux, il nous faut penser internationalement et globalement.

Pour donner du poids à nos décisions et nos actions, nous avons demandé de joindre les rangs d'UNANIMA international.

UNANIMA international est une ONG (organisation non gouvernementale) qui travaille pour la justice au niveau international, en harmonie avec la charte des Nations Unies pour améliorer les conditions économiques et sociales de tous les peuples.

UNANIMA est composé de deux mots : anima, principe de vie féminine, ce qui anime et donne la vie et un qui accolé à anima signifie la volonté de travailler, d'un seul coeur et d'une seule âme, « cor unum et anima una »

L'objectif d' UNANIMA international est d'intervenir afin d'assurer justice en faveur

  • des femmes et des enfants en situation de pauvreté
  • des immigrants et des réfugiés

et d' assurer la défense et le respect de notre planète.

Son plan prévu pour les trois prochaines années est de supprimer à sa source le trafic des femmes et des enfants victimes d'exploitation sexuelle en mettant fin à la demande.

En mars 2009, notre Congrégation ayant rempli les critères de l'organisation, a été acceptée comme membre de UI se joignant ainsi à un groupe d'une vingtaine de Congrégations religieuses d'hommes et de femmes.
Notre déléguée est soeur Judith Curley.

Une vingtaine de SASV témoignent de leur engagement auprès des femmes et des jeunes, des minorités, des appauvris à la défense de leurs droits et des personnes souffrantes.

Mariette Milot

Canada, Québec, Nicolet
Diocèse de Nicolet

CATHII (Comité contre la traite humaine interne et internationale) est la réponse des Congrégations religieuses féminines québécoises à l'appel de l'UISG (Union internationale des Supérieures générales), lancé en 2001 afin d'AGIR ENSEMBLE POUR CONTRER LE TRAFIC DES FEMMES ET DES ENFANTS. L'UISG représente environ un million de religieuses dans le monde.

J'avais à ce moment-là demandé que notre Congrégation s'investisse pour cette cause. Le but poursuivi est tellement dans la ligne de notre charisme, à savoir la libération de femmes de chez-nous et du monde.

En partenariat avec deux Filles de Jésus je travaille à la conscientisation de jeunes du secondaire, du CEGEP, de même que de groupes d'adultes, à cette triste situation. Ensemble nous avons produit deux instruments de sensibilisation : une pièce de théâtre, sur vidéo et un cahier d'animation. Ces outils ont été traduits en cinq langues et ont atteint une soixantaine de pays à travers UNANIMA International, reliée à l'ONU.

À cette étape de ma vie, je consacre le meilleur de mes énergies en faveur de nos soeurs victimes de la traite humaine.

Pour plus d'information voici les adresses à taper : www.uisg.org, www.unanima-international.org, www.cathii.org

DVD à visionner « Je te salue Mariette » Pauline Voisard

Denise Laquerre

Canada, Québec, Trois-Rivières
Diocèse de Trois-Rivières

Il y a maintenant une vingtaine d'années que j'offre mes services au FAR
                 Familles      Accueil      Références
organisme qui héberge des femmes en difficulté ou victimes de violence conjugale. Pour plus d'info : www.maisonlefar.ca

Pour ma part, je donne un programme de formation, s'échelonnant sur dix semaines à raison de deux heures par jour.

Je veux « être avec » cette personne qui cherche et l'accompagner.

Je veux être une présence qui écoute et accueille autant de souffrances, de questions et d'aridité « au fond d'un coeur bleu ».

Je me trouve privilégiée d'être témoin et partenaire de tant de pèlerinages intérieurs. Chacune porte en elle la capacité de faire un pas, puis un autre... avec d'autres.

Le plus exigeant et aussi le plus gratifiant, c'est le pas vers soi.

Comme SASV je me vois vivre le charisme qui est le nôtre, à savoir la proximité avec des femmes dans une mauvaise passe. Je fais partie d'une belle équipe de quinze personnes, la seule religieuse. J'aime beaucoup cet engagement qui me permet de donner le meilleur de moi-même et de voir s'ouvrir devant moi des potentiels non encore tout explorés.

Margot Génier

Canada, Ontario, Earlton
Diocèse de Timmins


J'affectionne particulièrement les jeunes, ce qui explique ma longue implication en Pastorale Jeunesse. Je vous parle d'un projet que, depuis 1986, je propose à des 15-18 ans, qui consiste en un voyage annuel d'une dizaine de jours au Tiers Monde. Depuis une dizaine d'années notre projet s'intitule « One Love » du célèbre Bob Marley, qui a pour mission de sensibiliser les jeunes à la réalité des plus pauvres, en Jamaïque, plus précisément des bidonvilles de la capitale, Kingston.

Voici les étapes à franchir pour « réussir » ce voyage et pouvoir se dire qu'on a répondu à l'appel « J'avais faim, soif, j'étais sans logis... »

Avant - Un tel projet ne s'improvise pas. On s'y prépare et on se forme durant une année, on prie, on jeûne, on ramasse des sous.

Pendant - Sur place en équipes avec des adultes nous allons à la rencontre du peuple jamaïcain pour nous laisser toucher, nous ouvrir et recevoir, nous enrichir de leurs différences et certainement, avec eux nous mettre à l'ouvrage : construction de maisonnettes, visites d'écoles, d'hôpitaux, d'orphelinats et j'en passe.

Après - de retour, nous bouclons la boucle en faisant la relecture du voyage au moyen entre autres, d'un journal de bord et d'une évaluation après trois mois. J'ai, au cours des années effectué pas loin d'une trentaine de ces voyages avec environ 450 jeunes. J'espère leur avoir transmis le goût du partage et la vision de l'humanité telle que voulue par notre Dieu.

Thérèse Demers

Canada, Québec, Trois-Rivières
Diocèse de Trois-Rivières

Je travaille comme bénévole, dans un centre appelé « L'Entr'Amis » dont le but est d'aider aux devoirs et aux leçons de jeunes élèves de la première à la sixième année. Ils sont d'origines ethniques différentes : africaine, mexicaine, et coréenne. Il s'y glissent aussi de petits Québécois. Chaque élève a son dossier où sont inscrites ses notes et mentionnés ses progrès. Des étudiantes, en stage, nous prêtent main forte et allègent nos tâches. On offre aussi les services d'un pédiatre, Dr l'Étoile, aux parents d'enfants en difficulté, à raison d'un après-midi par semaine.

J'aime beaucoup mon ministère qui m'amène à aider des élèves moins bien nantis dont les parents habitent des HLM.

Ce centre « L'Entr'Amis » porte bien son nom, je m'y sens appréciée et je suis heureuse d'en faire partie.

Chez les Premières Nations, dès 1891

Comment se fait-il qu'à peine une quarantaine d'années de fondation, nous les SASV étions rendues au Nord Ouest canadien, plus précisément au Lac d'Oignon ? Quelle filière remonter pour comprendre un tel exil ? Nul doute que Mère Saint-Joseph, supérieure générale d'alors aura été sensible à la demande de Mgr Vital Grandin, évêque de Saint-Albert. Elle se souvenait des récits de notre fondateur Jean Harper racontant sa mission chez les Indiens ayant lui-même répondu à l'âge de 21 ans à l'appel de Mgr Norbert Provencher .

Au Canada, la construction du chemin de fer parachevée, on ne parlait plus que d'expansion. Expansion qui refoulait les Indiens aux frontières. Expansion qui entrainait l'émigration de l'est vers l'ouest. C'est dans ce contexte que nous sommes devenues missionnaires d'une mission à double volets : éduquer les jeunes indiens et les enfants de la population migrante et minoritaire des Canadiens français catholiques.

Un monde nouveau naissait, riche de ses différences, plein de défis à relever, avec ses multiples cultures et religions. Nous avons vécu l' oecuménisme avant même qu'on en parle, toujours inspirées par le respect évangélique des personnes.

Livre à consulter : Cent ans d'espérance
Les Soeurs de l'Assomption de la Sainte Vierge dans l'Ouest canadien par Soeur Alice Migneault sasv

Une Soeur de l'Assomption chez les Atikamekw 1993-2009

Soeur Monique Laliberté, est une autre SASV dont le c oeur a vibré à l'appel missionnaire auprès des autochtones. Il s'agit ici d'une collaboration intercommunautaire avec les Oblats de Marie Immaculée, dont son frère Jacques. Pendant seize ans, elle a servi à Manawan, Opitciwan et Wemotaci. Elle raconte son expérience dans la brochure « Les Soeurs de l'Assomption en Haute-Mauricie autochtone, Québec, Canada » .

Fernande Rivard

Canada, Ontario, Ottawa
Diocèse du Sault Ste-Marie

A l'automne 2012, j'ai eu l'occasion de vivre une expérience missionnaire intercommunautaire à Arviat, (2,000 habitants) petite ville du Nunavut, située à 2,136 km de ma résidence à Ottawa. Tout a commencé par une invitation à aller prêter main forte à une équipe de religieuses Franciscaines Missionnaires de Marie FMM à la demande de l'évêque Mgr Reynald Rouleau du diocèse Churchill-Hudson Bay. Il s'agissait donc de former de futurs leaders, les amenant à approfondir leur foi et à s'habiliter à servir leur communauté paroissiale et sociale. La « maitresse d'école » en moi s'est sentie tout à fait à l'aise à se lancer dans un tel projet. Comme pour toute personne missionnaire il y a eu l'inévitable choc culturel, qui s'est estompé en peu de temps.

De voir des personnes s'instruire, se former, grandir et prendre leurs responsabilités comble mon c oeur d'éducatrice. L'année suivante je suis repartie pour un autre stage de quelques mois, appelée à retourner régulièrement pour continuer d'offrir mes services. J'apprécie cette expérience qui m'amène à partager ma foi, à donner et à beaucoup recevoir.

Sur cette photo, vous m'apercevez à droite, en compagnie de S oeur Dorica fmm et de jeunes frimousses de notre paroisse.

Marie-A. Turcotte

Canada, Ontario, Sudbury
Diocèse du Sault Sainte- Marie

Je suis une retraitée en service social où pendant une trentaine d'années j'ai rejoint des personnes marginalisées de toutes manières. Malgré toute notre bonne volonté, il s'en trouvait toujours qui glissaient entre les mailles du filet des services sociaux. De sorte que je disais : « À ma retraite c'est de ces personnes dont je veux m'occuper ».

De 2005-2013, j'ai été responsable bénévole de la soupe populaire au Centre Samaritain à Sudbury servant de 200 à 250 repas à chaque jour. Depuis je collabore avec la Société Saint Vincent-de-Paul en fournissant des articles de base et des meubles aux gens de la rue qui se trouvent finalement un logis. Avec toute une équipe de personnes très dévouées, j'aide ces démunis pour un nouveau départ dans la vie et pour leur faire retrouver leur dignité d'enfants de Dieu.

Ces paroles de nos Constitutions « travailler en Église à la promotion du peuple de Dieu avec une attention spéciale aux pauvres » art. 3, résonnent en mon coeur et m'interpellent constamment.

Thérèse Dubé

Etats-Unis, Massachusetts, Holyoke
Diocèse de Springfield

Je suis à l'embauche du « Providence Behavioral Health Hospital » comme aumônier et conseillère psycho-spirituelle.

Fidèle à l'esprit de la Congrégation qui nous envoie vers les plus démunis et dans l'esprit de nos devancières, j'accompagne, avec mon coeur, dans l'Esprit de Jésus, les plus pauvres des pauvres et dans certains cas les plus riches d'entre nous. C'est une passion, un privilège et un bonheur sans mesure !

Les bénéficiaires de nos services sont

  • des personnes aux prises avec la maladie mentale
  • des personnes âgées souffrant de traumatismes ou de conflits non résolus
  • des enfants, des jeunes, victimes de drames déchirants et inimaginables
  • d'ex-prisonniers en voie de réhabilitation
  • des patients en sevrage de drogues et autres stupéfiants
  • une clientèle externe de nos programmes intensifs

Avec une équipe dévouée, je tente de tisser le fil rouge rubis de l'amour, le fil vert de l'espérance, le fil jaune soleil de la paix à travers les défis qui sont les nôtres, en ce moment de notre histoire et celle de nos soins de santé en particulier. Le coeur reconnaissant, en chemin avec ces personnes qu'on nous confie, j'ajoute à notre tissu, le fil de la joie aux teintes de l'aube. Tout peut commencer et recommencer...

Lucie Lessard

Canada, Québec, Trois-Rivières
Diocèse de Trois-Rivières

Depuis 2006, je suis à l'emploi de la Maison Carpe Diem, organisme communautaire venant en aide aux gens atteints de la maladie d'Alzheimer.

Lorsqu'une famille demande un accompagnement, je me rends, soit à domicile ou soit en résidence. Mon travail consiste à « être avec » la personne, disponible et à l'écoute pour que ce moment soit le plus heureux possible. Selon ses besoins et ses désirs, nous pouvons faire une sortie, cuisiner, jardiner, aller marcher ou autre... L'important c'est qu'elle sente que je suis là pour elle.

Je commence chacune de mes journées, en me rappelant notre mission sasv : « Avec Marie, tout miser sur Dieu pour révéler l'Amour ». Cette parole me fait avancer, donne un sens à ma vie, à mon travail. Souvent, lorsque j'exerce mon ministère, je me sens démunie, petite, face au mystère de la personne, ce qui l'habite et surtout face aux limites que la maladie occasionne, c'est alors que le « tout miser sur Dieu » prend tout son sens.

J'aime beaucoup mon travail et je crois fermement que le Seigneur m'attend dans ce ministère où la personne a tant besoin d'être respectée et aimée.

Blandine Allen, Maritza Gualtero, Carmen Jutras,
Thérèse Lacourse, Agathe Martel, Alexandra Zambrano

Équateur, Quito,( Pichincha) et Quevedo, (Los Rios)
Diocèses de Quito et de Babahoyo

Carmen, Alexandra, Blandine, Maritza
Agathe, Thérèse

A quoi vais-je comparer ces SASV présentes depuis 1972 en Équateur, répondant à un appel de l'Église? On dirait souvent un essaim d'abeilles, tant la variété des besoins les retrouve en divers endroits et en plusieurs champs d'action. La catéchèse familiale a ouvert les portes à l'éducation de la foi des parents à leurs enfants. Un conseil de catéchètes expérimentés apporte un solide soutien. On répond ainsi à la fois à la soif de la Parole de Dieu et à l'éducation aux valeurs humaines.

Ces Soeurs ne solutionnent pas les problèmes pastoraux ou sociaux, elles enseignent comment y faire face. Leur point de mire est la personne afin qu'elle se découvre, avec ses talents et comment elle peut servir la société. Elles portent attention aux personnes en détresse par l'écoute; aux enfants, par une aide scolaire; aux jeunes et aux femmes, par des groupes de réflexion-action et aux personnes âgées afin que ces dernières aient recours aux services qui leur sont dus. Cette vaillante petite équipe se veut un lien entre les besoins et les services existants comme les abeilles entre la fleur et la ruche.

Les Associés se sentent de la famille, ils s'imprègnent de notre histoire et de nos valeurs et s'engagent dans leur foyer et dans leur Église locale. Une urgence se présente, ils manifestent concrètement leur solidarité. Ils accueillent aussi les volontaires québécois et les aident à s'insérer dans notre réalité.

Notre fondateur Jean Harper et nos fondatrices reconnaîtraient sûrement l'esprit de leur projet en ces diverses formes d'éducation libératrice ainsi que dans la charité fraternelle qui nous anime quand les rires fusent aux heures de détente.

La Vierge de l'Assomption, femme d'audace et d'initiatives, inspire la vie quotidienne. Les Soeurs puisent leur énergie dans la rencontre avec l'Aimé qui les accueille, illumine leurs recherches et leur donne le goût d'aller de l'avant, en solidarité avec la Congrégation.

Madeleine Brochu, São Luís, Maranhão, archidiocèse de São Luís
Pauline Legault, Recife, Pernambuco, archidiocèse Recife-Olinda
Janice Bélanger, Recife, Pernambuco, archidiocèse Recife-Olinda
Diane Trépanier, Serra da Catita, Alagoas, archidiocèse de Maceió
Carmen Lúcia dos Santos, Maceió, Alagoas, archidiocèse de Maceió
Joana Ribamar Pereira Campos, Recife, Pernambuco, archidiocèse Recife-Olinda
Maria dos Santos Barros Fonsêca, São Luís, Maranhão, archidiocèse de São Luís
Gilmarta Maria Soares Monteiro, Maceió, Alagoas, archidiocèse de Maceió
Diene Dantas dos Santos, Maceió, Alagoas, archidiocèse de Maceió
Alecsandra Carla da Silva, São Luís, Maranhão, archidiocèse de São Luís




La région du Brésil compte actuellement dix Soeurs répartis en trois maisons. Le petit nombre n'est en rien un obstacle pour que nous assumions, sous de multiples facettes, notre grande et belle mission de révéler l'Amour.

Une compagne assume cette mission exerçant le ministère le plus traditionnel qui soit dans la Congrégation, la salle de classe.

Une autre, travaille au Secrétariat de l'Éducation pour la Préfecture de Maceió, investissant dans la formation des enseignants.

De façon bien différente, une troisième se dévoue dans un hôpital auprès des enfants, prenant à coeur la dimension éducative de son ministère auprès des mères de ses patients qui ont souvent besoin d'orientation.

Plusieurs d'entre nous, offrent leurs services aux communautés chrétiennes dont elles font partie privilégiant l'éducation de la foi de manière très variée: animation de la liturgie, formation de catéchètes et de ministres de la communion, cours bibliques, énéagramme, pastorale des jeunes, éveil vocationnel.

Ayant acquis la formation nécessaire pour ce service, quatre d'entre nous faisons de l'accompagnement spirituel.

Nous investissons aussi du côté social: Un engagement des plus significatifs en ce sens est notre collaboration au Projet Thallita de la Conférence des Religieux de Maceió qui travaille à la récupération d'adolescentes victimes d'abus sexuel, impliquées dans la prostitution ou dans le traffic de drogues ou à la prévention de ces pratiques.

Une autre répond à un appel particulier, celui d'être une présence contemplative et d'accueil dans un monastère encaissé en pleine nature au milieu d'une population rurale très démunie. (Catita)

Dans un autre contexte, le travail social, nous amène à devenir agentes de conscientisation et de transformation dans nos milieux où le développement détruit la nature, retire aux populations leurs lieux de résidence et leurs moyens de survie et où la qualité des services de santé et de l'éducation sont plus que précaires.

Nous exerçons une bonne part d'activités conjointement avec les Petites Communautés Insérées en milieu populaire. En relation au souci assumé internationalement par les Congrégations religieuses contre le traffic des personnes, nous intégrons un mouvement appelé "Un cri pour la vie" fondé dans le but d'assumer cette lutte de façon organisée et efficace.

Nos fidèles rencontres avec nos Associés portent fruit sous forme de partenariat en bon nombre de nos engagements.